摘要:Bref, la traduction du proverbe français a ses propres spécificités, mais cela n’empêche pas qu’elle s’inscrive quand même dans le cadre de la traduction générale. Par conséquent, elle doit obéir à la règle fondamentale, soit la transmission du sens.
aduire toutes par le “vin”? En voici un exemple : comment traduire酒香不怕巷子深? Ici, on ne peu pas traduire酒le vin. Parce que le vin désigne en français la boisson alcoolisée provenant de la fermentation du raisin. Mais酒pour les Chinois est plutôt l’eau de vie. Alors, pour ce proverbe ancien,on peut le traduire l’alcool parfumé ne craint pas de se situer au fond d’une venelle. Au-dessus des trois points ce sont les problèmes dont on doit tenir compte le plus essentiellement.
5.1 La préservation de la partitularité nationale et la couleur locale
Dans la langue chinoise et la langue française, quelquefois certains proverbes ont le même sens, mais chacun connote évidemment la partitularité nationale et la couleur locale, par conséquent on doit faire attention à la préserver, ne remplacez pas crûment le proverbe chinois qui a la couleur locale à le proverbe français, pour éviter tout malentendu possible. Par ex.:
a. Quand on parle du coup, on en voit la queue.
说到狼时就见到狼尾。
b. Deux avis valent mieux qu’un.
两个意见比一个好。
Quoique ces deux phrases n’aient pas la couleur nationale évidente, si l’on les traduit comme “说曹操,曹操到”、 “三个臭皮匠赛过一个诸葛亮”,il est facile à comprendre pour les lecteurs chinois, mais pour les peuple français, ils ne savent pas ce qu’il dit. Encore un exemple: Laissez-lui prendre un pied, il en prendra quatre.On le traduit comme “得寸进尺”, mais pas “得陇望蜀”.
5.2 Deux sortes de proverbes : le proverbe mélioratif et le proverbe péjoratif
Dans les termes français, certains ont les sens élogieux, certains ont les sens péjoratifs, et certains ont les deux sens, ainsi on doit les distinguer clairement. Par ex.: “Petite étincelle engendre grand feu.” Il semble que cette phrase est péjorative, mais en fait elle est méliorative, on la traduit comme “星星之火,可以燎原”.
5.3 Formes populaires et orales
Les problèmes susmentionnés apparaissent fréquemment. Outre ci-dessus, la langue de la traduction proverbiale demande les formes populaires et orales, hors d’ état de la traduire à le langage sibyllin, comme quand l’on traduit “La promesse est une dette”, on veut le traduit comme “一诺千金”, mais pas “许诺如欠债”.
Conclusion
L’opération de traduire a existé depuis des millénaires. L’acte de traduire consiste à comprendre un texte, puis, en une deuxième étape, à réexprimer ce texte dans une autre langue et culture. Dès l’apparition de l’opération de traduction, le débat sur la traduisibilité et l’intraduisibilité n’a jamais cessé, et persiste aussi longtemps que l’histoire de la traduction. Bien que tout le monde traduise depuis toujours, beaucoup mettent en cause la possibilité de traduction. Les diverses langues parlent du même objet, mais jamais en partant du même point de vue; elles nomment le même monde, et pourtant n’expriment jamais tout à fait la même expérience de ce monde. On ne peut pas traduire parce qu’on ne parle jamais tout à fait de la même chose, même quand on parle du même objet dans deux langues et deux cultures différentes. Comme certains faits culturels existent seulement dans une communauté linguistique, il nous est souvent difficile de trouver une équivalence entre deux langues différentes, puisque que l’une ne reflète pas forcément un même fait culturel que l’autre, et que ce qu’elle reflète n’existe pas forcément dans l’autre communauté linguistique non plus.
Aucune approche de la
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