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1;t 1955 à Mitsoudjé, aux Comores. Le jeunehomme a passé son enfance à Madagascar et est retourné à l'école dans son village,avant de poursuivre ses études secondaires à Moroni, la capitale. En 1974, MohamedToihiri s'installe en France et commence à étudier la littérature et la communication àl'université de Bordeaux. Il obtient une maîtrise en littérature et une maîtrise enlittérature, et en 1981un doctorat en Lettres. De retour dans son pays, MohamedToihiri enseigne au lycée de Mutsamudu sur l'île d'Anjouan(Comores) puis au lycéede Moroni. En 1985, Mohamed Toihiri publie son premier roman intitulé LaRépublique des imberbes. C'est le premier roman comorien d’expression française,écrit par un comorien.

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2. Revue de littérature

2.1 étude sur les œuvres d’Ousmane Sembène

En tant que défenseur des droits humains, qui lutte contre l`exploitation del`homme par l`homme, d’une part les noirs par les blancs, et d’autre part les noirsentre eux-mêmes, l’ingénieur des ames①se forge une réputation qui va attirerbeaucoup de critiques. Il se met aussi à critiquer certaines traditions comme lapolygamie, l`extravagance dans le mariage traditionnel.

Lorsque nous entendons parler de la tradition, nous comprenons généralementqu'il s'agit d'une chose très importante qui doit être préservée à tout prix. à travers lesromans, la poésie, la chanson et les écrits universitaires, nous parlons souvent de latradition et de ses valeurs. La tradition africaine n'est pas exclue dans ce cas. LavngwaMoses S. et all parlent de la tradition africaine comme d'une transmission de valeurs,qui devrait normalement répondre à des normes.

Lorsqu'une communauté se permet de pratiquer une tradition incapable decréer un équilibre entre l'individu et la communauté, quelle que soit la valeur que cettecommunauté accorde à cette pratique, pourrait-on continuer à appeler cela de latradition, même quand elle crée une dérive ? Bien sûr, nous dirons que oui. Beaucoupd’auteurs expliquent que l'individu n'est rien dans la communauté traditionnelle et quetout ce que l'individu doit faire, c'est se sacrifier pour le bonheur de la communauté.③

Selon Marie,④la Communauté (au sens anthropologique du terme) est,caractérisée par un anti-individualisme totalitaire, qui réprime un individualismeirréductible. La tradition, n'est pas perçue par tous de la même manière. Aux yeux decertains auteurs, la tradition n'a pas cette capacité d'avoir des valeurs capablesd'établir un équilibre entre l'individu et la communauté. Pour l'IJERE, il y a desaspects très négatifs, qui provoqueraient la régression de la société, au lieu de l'aider à progresser.①

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2.2 étude sur les œuvres de Mohamed Toihiri

Comme on l’a mentionné précédemment, la littérature comorienne d'expressionfrançaise est née avec la publication du premier roman comorien La République desImberbes. C'est une littérature très jeune, avec une différence de 82 ans par rapport àla littérature noire marquée par l'œuvre de William Edward Wood Burghard, Souls ofBlack Folk (1903), et 64 ans de différence avec la publication du premier roman noirafricain Batouala (1921) de René Marran. Nous ne connaissons que le Dr NassurdineAli Mhoumadi qui s'e本论文由英语论文网提供整理，提供论文代写，英语论文代写，代写论文，代写英语论文，代写留学生论文，代写英文论文，留学生论文代写相关核心关键词搜索。