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ionnerle parti sur les terrains du centre-droit. La lutte du FN contre la mondialisation, lacommunautarisation et l’immigration incontr lée ont été les thèmes principaux du discours du chefdu FN. Néanmoins, ce discours a été largement remarqué avec l’appel final de Le Pen:  Et vousaussi, Fran ais d’origine étrangère, je vous invite à nous rejoindre 134. Par conséquent, uneconception élargie de la nationalité a été adoptée par le FN, en opposition complète au radicalismeet à la xénophobie culturelle d’avant du FN. Cette nouvelle phase a reflété le projet dedédiabolisation de Marine Le Pen, qui était nommée directrice de campagne stratégique135.

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Conclusion

Les élections présidentielles de 2002 ont été marquées par l’absence de politiqued’immigration dans les campagnes électorales des partis majeures et par une grande voix prononcésur cet enjeu du c té du FN. La xénophobie culturelle et l’opposition aux types réguliersd’immigration ont été le fond du discours de Le Pen. La  discrétion secrète  sur la politiqued’immigration des partis traditionnels a privé le FN d’avoir des effets contagieux sur la concurrenceentre les partis au sujet de l’immigration lors du scrutin présidentiel de 2002. Cette observation estdérivée des performances des trois premiers facteurs composants de l’influence et ne correspondaitqu’à l’engagement des grands partis. Par conséquent, l’isolement du FN par les partis principaux aété considéré comme le facteur le plus pertinent dans le manque d’impact de Le Pen sur cettedimension de la politique d’immigration. Parallèlement, les partis traditionnels ont manifesté leurpleine autonomie sur la détermination d’orientation électorale, indépendamment de lapréoccupation proéminente de l’électorat dans lequel la question d’immigration primait et de lapression électorale agressive du FN.

Contrairement à 2002, la politique d’immigration s’est considérablement développée lors de lacampagne électorale pour le scrutin de 2007, tandis que le regroupement familial et les entréesclandestines ont été les genres d’immigration les plus argumentés dans le débat politique. Alors quele FN a déplacé sa position vers le terrain de centre-droit, les partis majeurs (en particulier l’UMP)ont déplacé leurs positions sur l’immigration vers la droite. Le consensus d’intégration après 2002 aété observé dans toutes les propositions de tous les partis traditionnels alors que l’UMP a dotéofficieusement du cadre de l’immigration du FN, montré par l’articulation du regroupement familialet de l’asile comme   immigration subie  , et l’adoption d’une politique identique à celle de Le Pen.Par conséquent, l’influence du FN sur la concurrence entre les partis aux élections présidentielles de2007 était un facteur indisponsable. La différence principale constatée en 2007 par rapport à 2002dans le fonctionnement des facteurs proposés était l’amoindrissement de la sensibilitéd’immigration dans l’opinion publique, à la fois que la volonté de Sarkozy de l'engagementinformel avec le FN alors que Chirac l’avait refusé. Ainsi, l’engagement des partis principaux,notamment la stratégie électorale de Sarkozy, a été considéré comme l’élément le plus pertinent del’impact du FN sur la politique d’immigration dans cet égard.

参考文献（略）

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