Un jour , au coucher du soleil , je faisais une promenade , tout seul , lelong du lac de Furong (un lac t rè s joli dans not re université ) , en é coutant etchantant une chanson f ranÔ aise. Voici un ext rait de ces paroles : 1 tous lesgarÔ ons et les filles se promè nent dans la rue deux par deux. Les yeux dans lesyeux , et la main dans la main , ils savent bien ce que cp est dpê t re heureux2. Ace moment-lÂ, jpé tais un peu t riste —aujourdp hui , aux yeux des é tudiant s ,lp amour , cp est comme “ un cours obligatoire" dans la vie universitaire. MaisjusqupÂce moment-lÂ, jpé tais encore seul : quand est-ce que lp amour tomberaitsur moi ?Oùest-ce que je pourrais t rouver ma petite amie ? Qui serait- t-elle ?Tout Âcoup , des mot s f ranÔ ais sont venus Âmes oreilles. Une fille é taiten t rain de lire le f ranÔ ais Âhaute voix. Cp est qui ?Jp ai jetéun coup dp¹il surelle. Ah ! Cpé tait une fille , belle comme le jour , qui é tait assise sur la pelouseau bord du lac. Je mp approchais dp elle , fixant mon regard sur cet te belle fille :ses cheveux noirs indiscipliné s , son f ront large , sa robe blanche. Et puis , ellea levé la tê te et mp a aperÔ u. Elle mp a dit :—Qup est-ce qup il y a ?A ces mot s , je me suis senti un peu impertinent .
Jp ai ré pondu tout desuite :— Excusez-moi de vous dé ranger . Jp apprends aussi le f ranÔ ais. Moi ,cp est Hervé , je suis é tudiant de f ranÔ ais de deuxiè me anné e. Trè s heureux defaire vot re connaissance.— Enchanté e , Hervé . Je suis Madeleine , é tudiante de publicitédedeuxiè me anné e. Jp apprends le f ranÔ ais par moi2mê me , parce que jp aime laFrance et que la culture f ranÔ aise mp inté resse beaucoup. Mais jp ai beaucoup dedifficulté s. Tu peux mp aider ?—Avec plaisir !La conversation , dp abord gé né rale , devint vite amicale. Aprè s lespré sentations , je lp ai laissé parler de ses difficulté s et jp ai
essayéde les lui ex2pliquer avec joie.La nuit est tombé e. Il est arrivédes amoureux qui se sont assis pas loinde nous. Et puis , not re conversation glissait vers les projet s pour lp avenir .Madeleine mp a dit qup elle allait
www.51lunwen.org poursuivre ses é tudes en France de maniè re Âmieux connaÆ t re ce pays. A mon tour , je lui ai parléde mes projet s. Nous ensommes arrivé s Âavoir les mê mes opinions sur toutes les choses ; Âce pointque , pensant de mê me , il ne nous a é téplus né cessaire de parler pour nouscomprendre. Et jpé tais sensible Âla gr½ ce de la jeune fille. Ma curiositéé taitpeu Âpeu mise en é veil par cet te é tudiante.Enfin , au moment de la quit ter , assez maladroitement Âla faÔ on destimides , je lui ai exprimé le dé sir de la revoir . Elle é tait dp accord et mp a donnéson adresse et son numé ro de té lé phone.A ce moment , l - haut , au- dessus de nous , spé talait , pleine et large , unegrande lune lumineuse au milieu dp un ciel bleu½ t re et laiteux.Le contactCe qui devait arriver arriva ! Je ne pouvais pas mp empê cher de tomberamoureux de Madeleine. Cet te nuit-lÂ, jpé tais t rop excité pour dormir . Je metournais et me retournais dans mon lit en remé morant lp instant oùnous noussommes rencont ré s.Dè s lors , je lui ai té lé phoné presque tous les jours sous pré texte de lp aiderdans ses é tudes de f ranÔ ais. Par té lé phone , on a parléde
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